L’ASM à l’épreuve de Pouyastruc

Dimanche, à Jean-Castet, Montesquieu accueille Pouyastruc, une rencontre aux parfums de revanche (chapo).

Après avoir copieusement dominé Rabastens de Bigorre (53-17), il y a deux semaines, l’ASM retrouve dimanche sa pelouse fétiche de Jean-Castet. Elle va se mesurer à une formation qui est loin d’être une inconnue : Pouyastruc.

En avril dernier, les Bigourdans s’étaient présentés à Jean-Castet dans le cadre du barrage d’accès aux huitièmes de finale de la Ligue d’Occitanie. Ce jour-là, dans ce match couperet, les Bigourdans s’étaient imposés dans le temps additionnel (17-16). On se souvient qu’à moins d’une minute du terme de la rencontre, Benjamin Icard avait passé une pénalité offrant la faveur du tableau d’affichage (16-10) à notre cher maillot brique et ciel.

Sur la remise en jeu, les Haut-Pyrénées ont remis la main sur le ballon. Ils ont enchaîné les temps de jeu, trouvé l’espace nécessaire pour inscrire un essai en moyenne position transformé par le buteur pyrénéen. Pour un petit point de déficit, Montesquieu n’a pas disputé le huitième de finale. Désormais, cette page est tournée. Ce match fera partie de la longue histoire de l’ASM.

Cette fois, le contexte est différent. Ce n’est pas un match à élimination directe, mais un match de classement entre deux formations du milieu de tableau. Dans l’hypothèse d’une victoire montesquivienne, cette dernière basculerait dans le peloton des qualifiables.

Après les succès face à Montréjeau, Rabastens, tous les supporters souhaitent que leurs protégés réalisent la passe de trois.

DN

Lever de rideau > Il sera assuré par l’équipe réserve. Rappelons que cette dernière reste sur une belle victoire face au Baronnies.

Le chiffre > 3- C’est la troisième fois que Pouyastruc vient fouler la pelouse de Jean-Castet.

En 2013 dans le cadre du championnat de Fédérale 3, Montesquieu s’était imposé (15-9). L’an dernier, Pouyastruc l’avait emporté (17-16). A qui la belle ?

D.NAVARRE