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Olonzac/Les portes du Comminges 41 à 45

Publié il y a 4 ans par

match du 11/01/2020
Ce fut dans des mini bus prêtés gracieusement par la mairie de Cazères que nous partirent à 11 pour jouer à X. le périple a commencée,destination OLonzac, 2H30 de route, avec arrêt sur le parking des arènes de Trèbes pour déjeuner, sous un vent glacial. Arrivés sur le terrain du stade BIELSA nous nous somme fait largement dominés par des colosses (5 joueurs de 3 è année et nous aucun) joueurs de OLonzac. Mais au fur et à mesure le vent (toujours glacial) a tourné, laissant l'adversaire, abasourdi, sidéré...et nous avons pu rattraper notre retard grâce au changement de joueurs de nos adversaires, largement plus à notre portée rugbystiquement et physiquement. Le club d' Olonzac a déclaré sur leur site:"L’interrogation subsiste, comment cette défaite a-t-elle pu conclure une rencontre qui paraissait, depuis l'engagement, acquise aux jeunes locaux?? Souci stratégique global? Condition physique,?? Coordination ?? Peau de l'ours ariégeois trop vite vendue?? Toujours est-il qu'au vu de l'entame de match on n'aurait pas mis un kopeck sur les chances des visiteurs... A tort , car ils avaient à plusieurs reprises réduit l'écart en cours de partie, tournant aux citrons avec un retard certes sensible, mais pas rédhibitoire.. Et le scénario s 'est répété en seconde période.. Cavalier seul MINERVOIS durant un temps, écart au score qui se creuse, avant un revirement et un retour à l'affichage des COMMINGEOIS... Suivi de ce qu'il faut bien, hélas , appeler le désastre local et la brochette d'essais encaissés en cinq minutes , faisant de visiteurs que l'on pensait estourbis les chéris d'une Victoire à laquelle eux mêmes ne croyaient peut être plus, sidérante, mais méritée. .. Au bilan une bien mauvaise expérience de laquelle il faut apprendre pour les locaux.... "
Au final nous apprendrons qu'un match n'est jamais fini avant le coup de sifflet final.
victoire 41 à 45, le retour en bus fut festif, merci aux chauffeurs entraineurs, Thierry Ducos et Sylvain Ufferte .

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